ΙΛIAC, ΜΕΤΑΒΛΗΘΕΙCΑ ΠΑΛΑΙ EIC ΚΟΙΝΗΝ

  1. (01) BIBLIOGRAPHIE HELLENIQUE XV-XVI TOME PREMIER
  2. 75. ΟΜΗΡΟΥ ΙΛ I AC, ΜΕΤΑ ΒΛΗΘΕΚΑ ΠΑΛΑΙ EIC ΚΟΙΝΗΝ γλώσσαν, νϋν δε διορθωθεϊσα, και διατεθεϊσα συντόμως, και κατά βιβλία, καθώς έχει ή του δμήρου βίβλος, παρά Νίκο λάου του Λουκάνου, £στι μέν ή βίβλος πάνυ ωφέλιμος, και ώραΐα τοις άναγνωσομένοις, και επειδή είσίν έν τήδε τη βί βλω πολλαΐ λέξεις δειναί, ήγουν όμηρικαι, έγένετο καΐ πίναξ, έν φ πίνακι, εύρήσεις ταύτας τάς δμη ρικάς λέξεις, απλώς έξηγημένασ, λάβετε τοιγαροϋν πάντες τήν βίβλον, Γνα είδήτε τα ποικίλα κα- τορθώματα τοϋ δμή- — : ρου : — [Au recto de Vawnt-demier f.) Stampata in Yenetia per Maestro Stefano da Sabio : il quale habita a Santa Maria formosa : ad ins- SEIZIEME S1ECLE. 189 tanlia di miser Damian di santa Maria da Spici. M.D.xxvi. ncl mese di magio. In-4° de 164 ff. non chiffres, divises en 21 cahiers de 8 ff. chacun, sauf le dernier, qui n'en a que 4, dont le quatrieme etitiereiiienl blanc. Signa- tures : [aa], be, ογ, di, et, ft, βη, he, it, χ, 1λ, πιμ, ην, οξ, ρο, qw, rp, si, t-r, uu, χφ. 341ignesa la page pleine, soit 68 vers; cheque ligne conlient, en effet, deux vers, qui doive.nl se lire horizontalement, car le blanc qui les separe n'indique pas, comme l'a cru Brunei, que la page est a deux colonnes, il a pour unique but de preciser la fin d'un vers et le commencement de I'autre. Nombreuses gravures sur bois dans le texte. Les exemplaires bien conserves de ce livrc sont d'une excessive rarete et alteignent, dans les ventes publiques, des prix fort eleves. Vend. 2 liv. 2 si». Askew (et un exemplaire date de 1528 (?), 1 liv. 5 sb. le meme); 63 fr. maroquin rouge dent. La ValliSre; 64 fir. Soubise; 48 fr. deColte; 140 fr. Mac-Carthy; 203 fr. diaries Nodier; 250 fr. La Ferle-Seneclfcre; 145 fr. Ambroise F.-Didot (en 1882). Bibliolheque nationale de Paris, Υ 176 Reserve. Cet exemplaire, qui est fort beau, possede le feuillet blanc de la fin, qui manque presque toujours. Sept villes se disputaient anciennement la gloire d'avoir donne naissance a Homere, aujourd'bui Zante et Corfou revendiquent le mince honneur d'avoir produit Nicolas Lucanis. Constantin Assopios, qui annonca, en 1836, une nouvelle edition de Ylliade de Lucanis, le faisait naitre a Zante1, et P. Chiotis n'a pas manque de se ranger a 1'avis du savant pro- fesseur, en ajoutant, comme argument decisif, qu'il a existe a Zante une famille Lucanis1. Preuve insnflisante, replique avec raison C. Satlias5 car il a egalcment existe a Corfou une riclie et noble famille Lucanis*. Voila ού en est la question; peut-etre sera-t-elle resolue le jour ou les Grecs se decideront a fouiller leurs archives de famille, si interessanles surtout dans les iles Ionicnnes. 1. Information donnee par Panagiotis Chiotis (Ί
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